Declaración de forma
Declaración de actividades anteriores en programas de investigación y desarrollo biológicos con fines ofensivos y/o defensivos
1er janvier 1946 au 30 juin 1958
Les travaux à caractère offensif entrepris par le Canada au cours de la période mentionnée ci-dessus comprennent : des études sur des procédures améliorées pour la production de certaines toxines (ex. toxines botulique et diphtérique); des études sur l’utilisation d’insectes comme vecteurs pour des bactéries et des virus pathogènes; l’essai et l’évaluation de munitions, notamment l’évaluation de leur performance par temps froid; des études sur la dispersion en aérosol d’agents de guerre biologique potentiels au moyen d’armes; des travaux fondamentaux concernant les essais sur le terrain, la prise en compte de la dispersion et des propriétés des particules solides, la préparation de solides finement divisés pour les munitions et l’échantillonnage de particules toxiques; la mise au point de processus de culture de tissus pour la production de virus à grande échelle; la mise au point de Burkholderia mallei et de Burkholderia pseudomallei en tant que nouveaux agents de guerre biologique potentiels et des travaux ininterrompus sur Brucella suis et Pasteurella tularensis en tant qu’agents de guerre biologique. Il n’y a pas eu de production à grande échelle, de stockage ou d’intégration à des armes d’agents de guerre biologique. Lorsque cela était nécessaire, les agents de guerre biologique étaient détruits à l’autoclave.
1er janvier 1946 à aujourd’hui.
Dans le cas des travaux en matière de défense biologique, ce n’est que par une compréhension approfondie des propriétés et du comportement des agents de guerre biologique potentiels que nous pouvons estimer la menace qu’ils représentent et concevoir des mesures de défense appropriées à leur égard. Par conséquent, il y a eu par le passé beaucoup de travaux de recherche fondamentale sur ces agents, de même que des études sur leurs caractéristiques et leur comportement sous forme d’aérosols. Les travaux sur les aérosols ont notamment visé à déterminer les facteurs responsables de la perte de viabilité des bactéries et des virus en aérosols se déplaçant sur de longues distances. Le but était de mieux déterminer la faisabilité d’une utilisation à grande échelle d’agents de guerre biologique. Les travaux en matière de défense biologique dans le domaine médical ont porté sur la recherche et le développement et, dans certains cas, sur la production d’anatoxines, d’antitoxines et de vaccins contre différents agents de guerre biologique potentiels, y compris la toxine botulique, le virus de la peste bovine, le virus de la maladie de Newcastle, B. mallei, F. tularensis et la toxine diphtérique. Les travaux les plus récents en matière de défense biologique sont résumés dans le formulaire A, partie 2.